Basé sur les contreforts du Vercors, l’atelier développe sa pratique entre technique et poésie.
L’atelier envisage l’architecture comme la réponse formelle à des questions diverses et variées : raconter une histoire à travers une expression singulière.

Les milieux ruraux et péri-urbains comme contexte.
Travailler le site, le paysage, s’adapter aux rythmes des saisons : la liberté s’exprime dans le cadre que l’on s’est choisi.
Se positionner clairement permet d’affirmer une identité et c’est cette dernière qui donne un sens à notre pratique. Cette lente et patiente exploration propose une interprétation, une expérimentation de la matière et du sensible. Ainsi, « l’architecture naît de besoins réels mais les dépasse » (Luigi Snozzi).

L’atelier est structuré autour de leitmotivs. Ces thèmes apparaissent comme des repères, des guides dont il est loisible de s’approcher ou de s’en éloigner pour agrandir le champ des possibles.

Il n’existe pas de petits projets. Le bon sens paysan semble être une première piste d’exploration pour redonner du sens au rapport que nous entretenons avec le projet d’architecture à toutes les échelles. Il n’est pas question ici, d’opposer tradition et modernité.

L’architecture est un rapport à l’espace, mais également un rapport au temps. Elle aborde une certaine notion de mémoire. Il est nécessaire de s’appuyer sur les traces du passé et ses diverses « stratifications historiques ».
A travers le projet, nous ajoutons une nouvelle strate.

En somme, un sentiment d’artisanat.

La résistance

Le détail

Les proportions

 

La réflexion

Le site

Le temps

 

Les constituants

La matière

Le dessin

Nicolas Martinelli
Architecte DE HMONP
Diplômé de l’École d’Architecture
de Grenoble et de Rome en 2020
Ordre des Architectes ARA S24573

 

Publications
2021 – Lames, revue – Douce nostalgie 
2023 – Bulletin n°59, Société Française des Architectes  Le travail de la main